Paru dans « le Journal des Pierrus » n° 1 avril 1996
Le promeneur qui flâne dans Arvillard et aperçoit un cadran solaire sur lequel le soleil vient projeter successivement l’ombre d’un style.
Le promeneur qui flâne dans Arvillard lève la tête à la croisée des chemins et aperçoit au-dessus de l’ancien « Café des voyageurs » un cadran solaire sur lequel le soleil vient projeter successivement l’ombre d’un style.
L’invention du cadran solaire est attribuée à ANAXIMANDRE (VI siècle avant J.C.) Il se compose d’une tige dirigée suivant l’axe du monde et dont l’ombre portée sur un plan donne l’heure indiquée pour les nombres entiers d’heures, par la trace des faces d’une série de dièdres de 15 degrés formées autour de la tige. C’est l’heure solaire, l’heure vraie, celle du paysan des siècles passés et à venir.
Année : 1790
TARDIOR = plus lent
EGENTI = au pauvre
Le temps est plus long pour le pauvre
Horaires d’accueil
Lundi : 8h45 à 12h30
Mardi : 15h à 18h30
Jeudi : 15h à 18h30